Les faits sont édifiants! On parle d'une activité encore peu connue, discrète, et qui pourtant serait en passe de devenir le premier commerce illicite au mond,. La vente de médicaments contrefaits prends depuis quelque temps une ampleur alarmante. En effet, selon le rapport publié le 25 septembre 2013 par l’Institut international de recherche anti contrefaçon (IRACM) , les recettes générées par le trafic de médicaments auraient atteint 75 milliards de dollars en 2010, soit quasiment le double des chiffres signalés en 2005.

Plusieurs facteurs contribuent au développement rapide de cette activité qui pourtant tue déjà plus de 700 000 personnes chaque année, dont 100 000 en Afrique ! Pour mieux vous permettre d’appréhender l’ampleur du drame, notez que 100 000 morts par an, c’est l’équivalant d’environ 275 morts tous les jours ! Parmi les facteurs incriminés, on pourra retenir les points ci-après :

Le trafic de médicaments est « facile et peu risqué » :
Les médicaments attirent beaucoup moins l’attention que la drogue ou les armes.  Ils sont légers, faciles à emballer et peuvent être acheminés par voie aérienne. Faute de vigilance ou par manque de formation des agents de douanes, ils sont peu ou mal contrôlés.
Parallèlement, la législation au sujet de la contrefaçon de médicaments est plutôt légère au regard des dommages que cause la prolifération d’une telle activité.


Le trafic de médicaments serait 10 à 25 fois plus rentable que le trafic de drogue :
Il est intéressant de garder en tête l'échelle de grandeur suivante : pour 1 000 dollars investis, le trafic de fausse monnaie ou d'héroïne en rapporterait 20 000 ; la contrefaçon de cigarettes, 43 000 et la contrefaçon de médicaments, entre 200 000 et 450 000 !

Cette activité est d'autant plus dangereuse qu'elle menace non seulement la vie des patients qui en font usage, mais contribue en plus à la prolifération de souches pharmacorésistantes et remet en cause l'efficacité des politiques sanitaires développées à coups de milliards. Il urge que les autorités prennent des mesures pour freiner l’expansion de ce phénomène qui silencieusement cause déjà d'énormes ravages.  

Organisation du trafic de médicaments à travers le monde











Pour en savoir plus sur le sujet, cliquez ici
Pour accéder au résumé du Rapport IRACM "Contrefaçon de médicaments et organisations criminelles" ici
Pour accéder au rapport complet IRCAM  "Contrefaçon de médicaments et organisations criminelles" ici

Mercredi dernier j’ai posté un article dont le titre était "Ignorance, Avidité et Égoïsme". En discutant avec ceux qui l’avaient lu, j’ai remarqué qu’il y a pas mal de gens qui n’avaient pas tout à fait cerné mon propos.  Pire il y en a qui se sont carrément sentis agressés.
Tout compte fait, cela m’a permis de véritablement me rendre compte à quel point le blogging est une école. Transmettre ses idées n’est pas chose facile. Au début, on fait des erreurs, on est maladroit,  ce n'est qu'avec de la pratique qu'on finit par trouver le bon ton, les bonnes tournures, les bons mots …

Bref, pour en revenir à l’article de mercredi, j’aimerais une fois de plus préciser que je rapportais des propos tenus par quelqu’un d’autre que moi dans un article que vous pouvez consulter ici. J’ajouterai que les points développés par l’auteur ont certainement aujourd’hui moins poignants qu’il y a quelque années. Cependant ce que je souhaiterais que l’on retienne essentiellement est que :


  Il est primordial de prendre au sérieux la quête du savoir et de développer une attitude qui consiste à aller à la recherche de l’information, à la traiter et surtout la diffuser massivement.. Aujourd’hui plus que jamais l’acquisition et la maitrise de l’information sont des déterminants majeurs du succès. Je me ferai un plaisir de développer bientôt ce point dans un autre article.  

  Le second point concerne la gestion des ressources. Principe bête : Si vous passez votre temps à dépenser votre argent pour consommer  sans jamais l’utiliser pour créer de la richesse (au sens large) vous finirez pauvre (à prendre également au sens large). C’est comme avoir une citerne percée. Si on n’y remet pas de l’eau, elle finira par se vider. Il s’agit donc de façon pratique d’encourager l’investissement et l’entrepreneuriat. Quand vous avez un projet en tête, n’hésitez pas à lui allouer une partie de vos ressources. En prenant le risque d’investir de l’argent vous gagnez plus, qu’en faisant une simple dépense de consommation. En effet, même si pour une raison ou une autre, votre projet n’aboutit pas, ou  s'il ne connait pas le succès économique que vous auriez espéré, vous aurez tout au moins enrichi vos expérience. Et l'expérience chers amis ne s'achète pas.
Il y a un peu  plus de deux ans je suis tombé sur un article dont la lecture m’avait particulièrement marqué. A l’époque d'ailleurs je l'avais re-posté sur mon compte facebook. L’article avait été écrit par un « Blanc » et expliquait très méthodiquement les raisons pour lesquelles je cite « les Noirs resteraient toujours esclaves des Blancs ». 

Le plus marrant (ou pas) dans l’histoire c’est que le raisonnement du mec s’est basé non pas sur des pseudos arguments hautement savant, mais plutôt sur des observations. L’avantage avec cette méthode est que chacun en lisant l’article peut vérifier par lui-même si ce qui se dit est crédible ou non. Il lui suffit d’observer à son tour.
Je vous invite donc à refaire l’exercice avec moi et à juger par vous-même :
En gros 3 raisons essentielles ont été indexées pour justifier le fait que les Blancs dominent et continueront de dominer les Noirs: L’ignorance, L’avidité et l’égoïsme

·       L’ignorance


« La meilleure façon de cacher quelque chose à un Noir est de la mettre dans un livre » Nous sommes aujourd’hui à l’aire de la connaissance pour tous.  Les livres sont partout autour de nous; Mieux, nous avons internet pour accéder gratis à toutes sortes d’infos sur toutes sortes de sujets. Pourtant combien de Blacks lisent ? Combien pensent à se cultiver ? Les rares qui lisent ne partagent pas ce qu’ils ont appris. Les Noirs préfèrent mourir avec leurs secrets plutôt que de les transmettre à leur descendance. Le phénomène est tellement criard qu’on a carrément un dicton à ce sujet : « En Afrique un vieillard qui meurt est une bibliothèque qui brûle »

·        L’avidité


En Décembre 2012, le Nigéria a dépensé environ 45 millions d’euroen bouteilles de champagne pendant que 62% de sa population vit avec moins de 1 dollar par jour. Le Black est presque toujours dans l’excès et l’ostentation. Il veut posséder, paraître sans jamais penser à épargner ou à investir. Un jeune Black aura 1 forte tendance à se priver pour acheter une nouvelle paire de baskets ou un sac à 1000 euros plutôt que  qu’investir dans une Start up par exemple. Les Noirs utilisent plus leur argent pour enrichir les Blancs que pour créer eux-mêmes de la richesse.

·        L’égoïsme


L' Égoïsme est un autre comportement qui caractérise le Noir. Ceux qui ‘’réussissent’’ sont rarement dans la logique d’aider ceux autour d’eux à obtenir également le succès. Ils ont plutôt tendance à snober leurs semblables, à les regarder dédaigneusement et à fuir leur compagnie. Quand ils aident c’est avec beaucoup de condescendance, ou pour se donner bonne conscience.
L’égoïsme des blacks est tellement fort qu’ils ont tout le temps du mal à travailler ensemble sur des projets. Pour s’en convaincre il suffit d’observer les institutions régionales, le déroulement des élections en Afrique. 
Ils ne comprennent pas que rien ne vaut des entités individuelles travaillant à une cause commune. TOGETHER EACH ACHIEVES MORE (TEAM).



Bien que l’analyse de ce cher monsieur soit quelque peu sommaire, j’estime qu’il y a tout de même une grosse part d’objectivité. Pas que tous les Blacks sont foncièrement incultes avides et égoïstes, mais je crois qu’il y a lieu de prendre une pause et de réfléchir ; Car si l’Afrique Noire reste jusque-là dans une si triste précarité,la raison est peut être à chercher dans le comportement qu'adopte le Black au quotidien...
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